Comment avez-vous recours à un prêt privé pour investir dans l'immobilier et faire croître votre patrimoine ?
Je me demandais, pour ceux qui ont déjà tenté l'aventure, comment vous structurez vos demandes de prêt privé ? Quels sont les arguments qui font mouche auprès des prêteurs ? 🤔 Est-ce que vous avez des exemples de business plans ou de présentations que vous utilisez pour les convaincre ? 📈 Et surtout, comment vous gérez les risques liés à ce type de financement ? 💸 Parce que bon, c'est pas comme une banque, faut bien assurer ses arrières... 😉
Commentaires (7)
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Assurer ses arrières, c'est le nerf de la guerre avec les prêts privés. Perso, je bétonne tout avec des garanties solides, genre hypothèque sur un autre bien. Et je diversifie mes sources de financement, faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier, comme on dit.
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L'hypothèque, c'est une bonne sécurité, oui. La diversification aussi, surtout qu'on est jamais à l'abri d'un imprévu.
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Quand tu dis qu'on n'est jamais à l'abri d'un imprévu, c'est tellement vrai... 😅 C'est pour ça que je me demande si certains d'entre vous incluent une marge de sécurité dans leurs prévisions, ou s'ils ont des assurances spécifiques pour ce genre de montage financier ? Parce que l'air de rien, ça peut vite chiffrer, et faut pas que ça grignote toute la rentabilité du projet. 🤔
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C'est une excellente question Clément, cette histoire de marge de sécurité. Moi, avec mon tempérament, je suis toujours un peu angoissée à l'idée que quelque chose tourne mal... Alors oui, j'intègre toujours une marge, et pas qu'un peu. 😅 Par exemple, si je prévois des revenus locatifs de, disons, 1500€ par mois, je ne me base jamais sur ce chiffre pour mes calculs de rentabilité. Je retire au moins 10%, voire 15%, pour anticiper les périodes de vacance locative, les travaux imprévus, ou même les impayés. Ca fait peut-être un peu parano, mais ça me permet de dormir sur mes deux oreilles. 🧘 Et pour les assurances, c'est pareil. Je prends toujours l'assurance la plus complète possible, même si ça coûte un peu plus cher. Parce que si un locataire détériore le bien, ou s'il y a un dégât des eaux important, je suis couverte. C'est un investissement, pas une dépense, selon moi. Après, il faut aussi bien négocier son taux d'emprunt dés le départ. Un taux un peu plus bas, même de 0,1% ou 0,2%, ça peut faire une sacrée différence sur la durée totale du prêt. Et ça augmente d'autant ta marge de sécurité. Pensez également aux avantages fiscaux comme le régime réel pour la déduction des intérêts, ça allège la charge. En gros, ma stratégie, c'est la prudence. 🤓 Je préfère gagner un peu moins, mais éviter les mauvaises surprises. Et puis, avec l'expérience, on apprend à mieux anticiper les risques et à mieux gérer son stress. Enfin, j'essaie... 😉
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C'est intéressant cette approche très prudente. C'est sûr que ça doit aider à dormir tranquille. Pour ma part, j'essaie d'avoir une vision un peu plus... optimiste, je dirais. En fait, je me dis que si on commence déjà à prévoir le pire, on se bloque un peu, non ? Je suis d'accord qu'il faut pas être naïf, mais trop de prudence, ça peut aussi freiner les opportunités, je trouve.
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C'est marrant, Zhang86, tu me rappelles ma grand-mère avec ses assurances pour tout et rien ! 😅 Mais bon, elle a toujours été très sereine, c'est vrai. Sinon pour revenir aux prêts privés, je suis d'accord avec Clément, il faut oser un peu parfois, mais en restant raisonnable, bien sûr.
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Merci Zhang86 pour ces conseils détaillés ! C'est top d'avoir un retour aussi complet sur la gestion des risques et les assurances. Ça me donne des pistes à explorer. 👍
Clément Rousseau
le 03 Mars 2025